Fonctionnement d’un turbocompresseur

Fonctionnement turbocompresseur

Un turbo est constitué de deux parties pour son fonctionnement : la turbine et le compresseur. La turbine reçoit les gaz d’échappement émis par le moteur et alimente le moteur. Puisqu’il est connecté au compresseur, il commencera également à se déplacer. Ainsi l’air entre dans le collecteur. Grâce aux progrès de la technologie, il existe une large gamme de turbocompresseurs qui fournissent plus de puissance tout en restant « verts ». Donc, mécanicien ou pas, vous devez comprendre le fonctionnement de cette partie.

Comment fonctionne un turbocompresseur ?

Pour réduire la consommation de carburant et les émissions polluantes, de nombreux constructeurs automobiles conçoivent désormais des véhicules avec des moteurs turbocompressés plus petits. Ces pièces améliorent les performances de votre voiture. Un turbocompresseur fonctionne en réutilisant l’énergie produite par les gaz d’échappement au sein d’un moteur thermique. Les turbos utilisent la vitesse d’échappement des gaz pour faire tourner les hélices à des fréquences supérieures à 200 000 tr/min. À cette vitesse, la turbine entraîne la roue coaxiale du compresseur. Beaucoup d’air est aspiré. L’air envoyé au collecteur d’admission est collecté et comprimé à une température spécifique (d’où le nom de turbocompresseur). L’air est ensuite dirigé à travers une série de pistons dans la chambre de combustion pour alimenter le moteur. Le moteur est donc boosté en augmentant la masse de carburant. Les résultats sont immédiats. Le turbo voiture améliore les performances énergétiques du moteur sans modifier la structure. Bien entendu, un moteur 1,5 litre aura autant de puissance qu’un moteur 2,5 ou 3 litres !

Pour optimiser son fonctionnement, le turbo doit être installé avec d’autres dispositifs pour éliminer les éventuels inconvénients de la suralimentation. Le premier refroidisseur intermédiaire sert à refroidir l’air comprimé avant qu’il ne soit envoyé au moteur. Si la température de l’air n’est pas comprise entre 80 °C et 100 °C, cela entraînera une surchauffe. Par conséquent, le refroidisseur intermédiaire refroidit l’air pour empêcher le moteur de surchauffer, mais il fournit également plus d’air.

La deuxième partie importante est la soupape de décharge. Limite le risque d’usure du moteur en maîtrisant la pression de la turbine. Pour ce faire, le débit de gaz d’échappement vers la turbine est ajusté pour éviter qu’elle ne tourne trop vite. Depuis sa création en 1905, les turbocompresseurs ont été rapidement adoptés dans l’industrie du transport, en particulier la Formule 1, pour plaire aux passionnés de vitesse. Certains modèles peuvent être coûteux, mais leur utilisation est devenue monnaie courante de nos jours. À quels types de pannes peut-on s’attendre lors de l’utilisation d’un véhicule turbocompressé ?

Quelles sont les pannes de turbo courantes ?

Un bon conducteur peut identifier un turbo HS par un certain nombre de symptômes. Certains défauts sont liés au mauvais état d’une partie du système de charge. Par contre, un manque de lubrification peut aussi en être la cause. Cependant, ces deux erreurs ne sont pas les seules erreurs fréquentes. Le dommage le plus courant est la réduction des performances du véhicule. Si vous n’entendez pas le tic-tac du turbo ou ne remarquez aucune accélération réelle, il se peut que vous ayez un mauvais composant. C’est aussi une bonne idée de prêter attention aux sons inhabituels. En fait, pendant la conduite normale, vous ne remarquerez peut-être pas l’action du turbo à moins que le régime n’augmente. Un fort bruit de grattage de métal est un signe d’échec. Cela peut être dû à la détérioration des aubes de turbine ou à l’usure des roulements. Cela peut également être le résultat d’une lubrification insuffisante.

Un mauvais turbocompresseur peut entraîner d’autres symptômes. C’est la production de fumée noire des gaz d’échappement. La fumée est par ailleurs bleue et peut ressembler à un capot. Dans le premier cas, le système d’injection est défectueux ou la canalisation entre le compresseur et le collecteur d’admission est cassée. Dans le second cas, la fumée bleue pourrait être due à un turbocompresseur encrassé ou encrassé. La fuite d’huile est un autre défaut causé par une panne de turbo. Si l’huile moteur adhère au système d’admission, au système d’échappement ou au tuyau du refroidisseur intermédiaire, le système de rotation peut être endommagé. Alors, comment éviter tous ces pépins, nous vous recommandons de faire entretenir régulièrement votre nouveau turbo.

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